Commentaires

  • dideron
    dideron · 2 août 2011

    Gaboriau le malchanceux, le maudit et le délaissé, parce qu'un jour il ne voulait en aucun cas un article de Saint-Yves d'Alveydre dans la revue théosophique qu'il dirigea. Le jeune Papus le fit payer très cher. N'ayant reçu aucun soutien des théosophes et des occultistes, il démissionna de la revue (Lotus rouge). Des années après il fit oeuvre utile en traduisant le roman de Hartmann sur la rose-croix, une histoire merveilleuse dans lequel il est difficile d'apprécier la réalité de cet ordre. Mais l'histoire est très belle!